Cet édifice fait l'objet d'une restauration extérieure et intérieure qui favorise chaque été la célébration de messes en plein air.

 



Selon la tradition, de l'eau aurait jailli sous l'un des sabots du cheval de saint Maurice, d'où la forme d'un sabot de cheval donnée au lavoir proche du sanctuaire. Cette source possédait, dit-on, des vertus thérapeutiques ophtalmologiques . Les archives mentionnent la chapelle pour la première fois en 1621, lors de l'un des procès en sorcellerie qui défrayent la chronique locale au XVIIe siècle, mais sa fondation est très certainement bien antérieure. Au fil des siècles, l'édifice est démoli à plusieurs reprises, ainsi que l'atteste en partie l'inscription gravée sur le linteau de la porte : "chapelle reconstruite en 1776 et rebâtie en 1865". Elle a fait l'objet d'une restauration intérieure et extérieure qui favorise chaque été la célébration de messes en plein airs.