Les noms des rues de ce quartier témoignent de son passé religieux. La ville compte alors, outre les neuf églises paroissiales, près de vingt communautés religieuses. Lors de le Révolution, les ordres sont interdits et leurs biens confisqués, la plupart des bâtiment disparaissent du paysage urbain. Ainsi, la rue Saint-Vaast et la rue du clocher Saint-Géry rappellent la présence des deux églises paroissiales du quartier, la rue neuve des Capucins est percée en 1830 à l'emplacement du jardin du couvent des Capucins, la rue des Anglaises évoque la communauté de bénédictines anglaises installée entre les numéros 17 et 27.